mardi 14 février 2006

Un nouveau cours d'Histoire mytho-presque-logique

Eh c'est trop bien, today j'ai eu un dvd de Pearl Jam (Touring Live 2000) à 9.99 euros, bourré de milliards de songs ! Comme quoi, quand c'est pas cher...on achète parfois hum hum...

A part ça, vous l'avez peut-être remarqué, mais on fête la Saint Valentin, enfin quand je dis "on" c'est euh...certains qui doivent le faire je pense. Mais qui était donc ce Valentin ? Sortez vos cahiers, c'est parti pour le cours d'Histoire !

Pour savoir de qui l'on parle, il faut revenir un peu en arrière, au temps du Moyen-Age. A cette époque les gens jettent leurs excréments par la fenêtre, la science est pauvre et quand on a une rage de dents ou n'importe quel problème de santé, on morfle grave, pas question de prendre un efferalgan. Mais on se bat, on est pas des chochottes, on laboure péniblement dans les champs, pour survivre. J'invoque l'instinct de survie, mêlé à une diabolisation du suicide, ou à une bêtise telle que l'idée de suicide n'effleure même pas l'esprit. Au Moyen-Age, les gens puaient atrocement (genre j'y suis allé en vacances cet été). Je défie une femme contemporaine de sucer la bite d'un mec moyen-âgeux sans vomir. Mais bon, je m'écarte un peu du sujet, enfin c'était quoi le sujet déjà...ah oui, Valentin.

Valentin était un jeune paysan prolétaire, de classe moyenne, un peu noble voire bourge sur les bords. Pour vous faire une idée, il portait un chapeau de paille. Un jour qu'il marchait dans un chemin escarpé, il aperçut un anneau d'or. Sans hésiter il décida dans un premier temps de s'en emparer, dans un second temps de le mettre dans sa poche trouée, et dans un tierce temps, de l'offrir à sa bien-aimée. Il se mit à courir en direction du village, ramassant de ça et là au passage, quelques roses rouges pour confectionner un bouquet. A l'époque les hommes étaient tout sauf romantiques, mais pas Valentin, tout comme Jésus il fut pionnier dans la gentillesse.

Arrivé à la maison de sa belle, il frappa sur l'épaisse porte boisée en déclamant ces mots :

Ma mie ! En ce jour du 14 février de notre ère,

Je voudrais te montrer comme je t'adore, en t'offrant un splendide anneau d'or !

La meuf, entendant le mot "or" accourut vers son homme. Il se regardèrent tendrement, s'enlacèrent, s'embrassèrent, pétèrent (et oui à l'époque c'était naturel). Valentin fouilla sa poche pour remettre le présent, mais comme je l'ai dit plus haut, c'était une poche trouée, et il l'avait évidemment perdu.

"Parbleu !" s'écria-t-il.

"Cela n'est guère grave...répondit la femme, je t'aime quand même..."

"Mais je t'assure, j'en avais trouvé un dans la plaine ! J'étais sûr de l'avoir mis là, je n'y entends goutte..."

"Je te dis que ce n'est guère grave...j'ai l'habitude avec toi"

"Arf"

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